« Vous n’allez pas créer un site d’e-commerce, c’est la crise » dixit belle-maman qui s’est autoproclamée spécialiste du web depuis qu’elle a vu un reportage sur les arnaques du web dimanche dernier. Vous avez pesé le pour et le contre et il ne vous manque plus que quelques bonnes raisons pour finir de vous rassurer avant de vous lancer dans cette belle aventure ? Laissez-nous finir de vous convaincre… (et vous fournir quelques arguments pour votre prochain repas en famille !)

Raison n°1 : bénéficier de la vague de croissance actuelle

La FEVAD vient de publier un bulletin de santé du secteur que l’on peut qualifier de bon en cette fin d’année 2013 : le e-commerce devrait représenter plus de 50 milliards de CA en France et les Français ont prévu de dépenser 10 milliards d’euros pour les fêtes sur Internet. Au troisième trimestre, la croissance du CA du e-commerce est estimée à +14% (+14% au premier trimestre et +16% au second) et l’on constate une augmentation du nombre de sites marchands de près de 18% par rapport à l’an passé soit 130.000 sites au total. Ce secteur d’activité bénéficie d’une croissance à deux chiffres et rares sont les secteurs capables de présenter de tels résultats en ces temps difficiles.

Raison n°2 : limiter les risques et les investissements au lancement de son activité (spéciale dédicace à belle-maman)

Et oui… Le lancement d’une activité sur Internet présente un premier mérite et non des moindres : limiter les investissements et les risques. On estime qu’en général un investissement de 10% du CA généré (ou prévisionnel) est suffisant pour démarrer son activité e-commerce. De plus, l’investissement étant relativement faible, cette approche vous permet également de tester une nouvelle activité tout en réduisant les fais fixes. De plus, le principe du dropshipping facilite le démarrage de votre activité en limitant la gestion des stocks. Il existe même des « boutiques prêtes à l’emploi » pour les e-commerçants souhaitant distribuer des produits dans le cadre d’une franchise.

Raison n°3 : se positionner sur un marché de niche national

Certains marchés de niche ne peuvent se développer via une simple boutique. En effet, certaines activités  très spécialisés nécessitent des volumes de vente difficiles à réaliser sur une zone géographique limitée : articles de danse, aiguilles à tricoter, modélisme, articles de fêtes, vignobles, etc. Ces marchés s’épanouissent pleinement sur un marché national et/ou régional, impossible à toucher via une simple boutique classique.

Raison n°4 (et peut-être la meilleure ?) : devenir son propre patron

L’e-commerce est un outil exceptionnel pour faire aboutir un projet d’entrepreneuriat. Travailler à son compte en devenant e-commerçant est un bon moyen de garder son autonomie, de limiter le recours à des fonds externes et des associations qui peuvent se révéler parfois douteuses et bien sûr être opérationnel très rapidement avec un budget raisonnable.

Si vous avez encore besoin d’arguments, n’hésitez pas à nous contacter.